Chabrol, jusqu'au bout horrifié et passionné par la bourgeoisie française... Et son scénariste, Gégauf, qui dit à sa maîtresse, avant de se faire poignarder : "Tue-moi, mais arrête de m'emmerder!" Dont acte. Merci, ymer, car c'est un régal aussi de retrouver tous ces acteurs.
Avant de découvrir ce blog ainsi que Paradis Perdu, Michel Bouquet n'était pour moi "que" le père du garçon capricieux dans "Le jouet" avec Pierre Richard. Depuis, je le découvre avec un immense plaisir. Merci!
Merci pour la HD !
RépondreSupprimerChabrol, jusqu'au bout horrifié et passionné par la bourgeoisie française... Et son scénariste, Gégauf, qui dit à sa maîtresse, avant de se faire poignarder : "Tue-moi, mais arrête de m'emmerder!" Dont acte.
RépondreSupprimerMerci, ymer, car c'est un régal aussi de retrouver tous ces acteurs.
Merci pour ce Chabrol !
RépondreSupprimermerci beaucoup pour ce chabrol; cheers.
RépondreSupprimerAvant de découvrir ce blog ainsi que Paradis Perdu, Michel Bouquet n'était pour moi "que" le père du garçon capricieux dans "Le jouet" avec Pierre Richard. Depuis, je le découvre avec un immense plaisir. Merci!
RépondreSupprimerGrand merci pour ce très bon Chabrol
RépondreSupprimerMerci pour ce film !
RépondreSupprimerA bientôt
Mordant et hautement subversif, mais attention, tout en finesse. Un très grand Chabrol.
RépondreSupprimerMerci beaucoup.